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Les obsèques : comment bien les anticiper ?

Obsèques

On parle d’obsèques quand il y a le décès d’une personne. Il s’agit de la cérémonie par le biais de laquelle le défunt est raccompagné par sa famille et ses proches à sa dernière demeure. Encore qualifié de funérailles ou d’enterrement, cet évènement empreint de solennité est généralement organisé par les proches du mort. Cependant, ce dernier peut anticiper sa mort par le biais d’un testament dans lequel il fait part de ses dernières volontés. Il a également la possibilité de tout organiser de son vivant afin de ne pas faire peser le prix des obsèques sur la succession.
L’organisation d’un enterrement n’étant pas toujours aisée car conditionnée à plusieurs formalités et exigences, il est important d’en maîtriser les implications.

Les obsèques civiles

obseques civiles

Il faut noter que si les enterrements, par le passé, ont longtemps été empreints de religiosité, le fait est qu’aujourd’hui de nombreuses funérailles sont organisées sans offices religieux. Il s’agit des obsèques civiles. Ce type de cérémonie d’inhumation offre aux proches et à la famille la latitude d’organiser le dernier hommage rendu au défunt en suivant un rituel personnalisé. La mémoire du mort est donc célébrée par toute chose qu’il aimait quand il était en vie : extrait de poème, musique préférée vidéo, album photo, oraison funèbre, hauts faits d’armes, anecdotes diverses, livre de témoignages et de condoléances.

Pour faire honneur au mieux à la mémoire du disparu et par fidélité pour sa personnalité, les obsèques civiles peuvent se dérouler dans un lieu dédié tel que : le crématorium, la salle mortuaire ou encore le cimetière.

A contrario de ce type d’obsèques, les obsèques religieuses se déroulent selon le rituel de la religion à laquelle appartenait le disparu. Elles ont généralement lieu entre un lieu de culte (église, temple…) et le cimetière. L’essentiel de ces démarches funéraires se fait en collaboration ou avec l’assentiment de l’autorité religieuse.

En France, cinq principales religions sont pratiquées. Ce sont : le catholicisme, le judaïsme, l’orthodoxie, le protestantisme et l’islam. Chacune de ces religions admet un rituel bien défini en ce qui concerne l’inhumation des morts. Elles ont toutefois en commun la commémoration et les hommages rendus à la mémoire de la personne décédée.

À la question quel est le type de cérémonie funèbre faut-il offrir à un défunt, la réponse réside essentiellement dans les convictions intrinsèques de cette personne. Ces mêmes convictions définissent la forme de cérémonie funéraire à laquelle les proches doivent faire recours entre la crémation et la mise en terre.

La crémation

La crémation est cette forme de fin qui consiste à brûler le corps du défunt. La finalité est de le réduire en cendres qui seront par la suite transvasées dans une urne funéraire. Cette dernière, suivant le bon vouloir du défunt ou des membres de sa famille peut être enterrée ou exposée dans un columbarium.

La crémation, bien qu’étant un très vieux mode de funérailles, n’est pas admise par toutes les confessions religieuses. À vrai dire, il n’y a que les religions catholique et bouddhiste qui autorisent le recours au feu pour le rituel de fin de vie. Depuis l’avènement du coronavirus, cette forme d’obsèques est celle utilisée pour les victimes ayant succombé.

Le recours à la crémation est conditionné à l’obtention d’une autorisation d’incinération. La demande de cette permission se fait auprès de la commune de naissance du défunt. À défaut d’obtenir l’autorisation dans cette ville, celle de la mise en bière est également compétente pour délivrer l’autorisation lorsque la dépouille mortelle a été transportée d’un lieu à un autre.

Avant de formuler une telle requête, l’entreprise de pompes funèbres recrutée ou le membre de la famille délégué doit se munir d’un certificat médical de décès, ainsi que du document attestant du désir express du défunt de se faire incinérer. Dans le cas où la personne décédée ne se serait pas prononcée sur cette question avant sa mort, le document à présenter doit être l’expression de la volonté éclairée de la personne chargée des obsèques.

Une fois l’incinération effectuée, les cendres doivent être déversées dans une urne dont le choix est également fonction des dernières volontés du défunt ou du désir de la famille. Ainsi, dans l’hypothèse où les restes devraient être enterrés ou dispersés au vent, une urne simple d’apparence est recommandée. Par contre, si les cendres doivent être exposées dans un columbarium, l’option d’une urne attractive et résistante est la plus indiquée.

Il est opportun de préciser que la crémation d’un corps doit se faire dans un délai compris entre 24 heures et 6 jours. De ce fait, il est conseillé d’effectuer la cérémonie d’incinération dans un crématorium assez proche du lieu de décès. Ceci pour s’assurer du respect de ce délai réglementaire. En fonction des centres de crémation, choisis, l’opération peut coûter entre 2 500 euros et 7 000 euros.

La mise en terre ou inhumation du corps

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Cette forme de funérailles est la plus répandue et elle est acceptée de toutes les religions. L’enterrement se déroule habituellement dans un cimetière. Il est également admis, en certaines régions du monde, que la mise en terre puisse se faire sur une concession familiale. Les personnes sans revenus sont généralement inhumées dans le carré d’indigents.

Deux options d’enterrement se proposent par les services funéraires : l’ensevelissement dans un caveau et l’ensevelissement en pleine terre. La première option implique l’acquisition ou la possession d’une concession funéraire. Celle-ci est destinée à accueillir le fondateur ainsi que tous les membres de sa famille à l’exception de ceux qu’il aurait expressément exclus avant de mourir.

Dans l’hypothèse où une concession privée est destinée à recevoir la dépouille d’une personne, il est exigé au préalable une autorisation préfectorale. À cela s’ajoute l’obligation que cette concession soit située en dehors et à bonne distance du village ou de la ville dans laquelle elle se trouve. Ces dispositions sont imposées par l’article L2223-9 du Code général des Collectivités territoriales.

Comparativement à la crémation, la mise en terre revient, au regard de certains paramètres, plus chère. Elle vaudrait entre 3 000 euros et 15 000 euros. Pour profiter de l’offre la meilleure, le recours à un comparateur ainsi que l’obtention préalable d’un devis sont des astuces pour s’offrir des funérailles pas chères.

Bien préparer ses obsèques

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Si la fin de vie est implicitement synonyme de quiétude pour le défunt, le fait est qu’elle laisse place à un véritable moment d’agitation pour ses proches. Ceux-ci se doivent de préparer son inhumation. Or bien que la mort soit un phénomène inéluctable, personne n’y est vraiment bien préparé, surtout quand il s’agit d’enterrer un être cher. Un ensemble de démarches administratives doit être effectué, avec en prime des dépenses assez consistantes.

Pour pallier cela, il est donc recommandé, si la possibilité existe, de préparer ses obsèques et, si possible dans les moindres détails, de son vivant. Cette anticipation de ses funérailles passe non seulement par la détermination du type de cérémonie mais également par le recours aux pompes funèbres qui prennent en charge un certain nombre de détails tous importants les uns les autres.

Le lieu de repos

Juste après la survenue de la mort et avant l’inhumation, le corps est généralement exposé dans un endroit paisible et propice au recueillement des proches. Différentes options existent et sont offertes dans ce cas.

Le funérarium

La première option pour l’exposition d’un corps est le funérarium. Il s’agit d’un établissement mortuaire généré par une entreprise (pompes funèbres) ou par la mairie. Le funérarium est un lieu calme, composé de différentes pièces qui offre assez de quiétude et d’intimité pour l’expression de la douleur et le recueillement.

Les coûts d’exposition d’un corps dans un funérarium varient sensiblement d’une ville une autre. Il n’est donc pas superflu de procéder à une comparaison avant de se décider.

La chambre mortuaire

Il s’agit d’un espace aménagé spécialement pour accueillir les personnes décédées dans une pension, un hôpital ou une clinique. Bien que ces personnes soient les bénéficiaires prioritaires de ce genre de service, il faut noter qu’une autorité administrative ou judiciaire, par le biais d’un acte ou d’une décision, peut ordonner l’exposition du corps d’une personne morte en dehors d’une telle institution.

Dans la pratique, la chambre mortuaire n’est pas si différente du funérarium. À l’instar de ce dernier, elle dispose d’un espace pour la présentation du défunt, et le recueillement des visiteurs. Une salle adjacente est dédiée à l’organisation technique de l’enterrement. Tout comme, dans le cas du funérarium, le choix d’une chambre mortuaire implique des coûts.

Le domicile du défunt ou de sa famille

Cette option est la plus intime et surtout elle n’implique aucune charge financière. Toutefois, elle répond à un certain nombre d’exigences. Ainsi, s’il est prévu que le corps soit conservé dans une habitation, il faudrait que celle-ci soit une habitation personnelle. La cérémonie d’exposition devrait se dérouler au rez-de-chaussée, de préférence dans la pièce la plus aérée. De ce fait, la pièce transformée pour la circonstance en salle mortuaire doit être suffisamment vaste pour accueillir le corps ainsi que les visiteurs. À cela s’ajoute l’obligation de prendre soin convenablement du corps afin de minimiser les risques liés à l’exposition à une température ambiante.

Le choix du cercueil

Le cercueil est une pièce maîtresse dans l’organisation des obsèques d’une personne. Cela dans la mesure où il intervient, qu’il s’agisse d’un enterrement ou d’une crémation. Cependant, suivant le type de rituel retenu, le type de cercueil utilisé diffère. C’est ainsi que l’incinération d’un corps fait appel à un cercueil dont le matériau est très sensible aux flammes notamment le pin, le carton ou l’aggloméré.

Par contre, le bois résistant est recommandé pour les mises en terre. Ces matériaux offrent l’avantage de préserver le corps, dans le temps, de l’humidité et des parasites.

Quel que soit le matériau dans lequel a été taillée la bière, cette dernière est généralement accessoirisée pour plus d’esthétique et de confort. Les accessoires généralement accompagnant la bière sont :

  • Le support : il est en ouate ou en juca et sert à fixer le bouquet de fleurs ou tout autre objet dont les visiteurs veulent faire accompagner le défunt.
  • Le capiton funéraire : il s’agit de la partie interne rembourrée du cercueil sur laquelle le corps est confortablement installé. Cet accessoire peut être customisé en fonction des dernières volontés du défunt ou des goûts de la famille.
  • Les emblèmes : ce sont des accessoires de quincaillerie ayant un rôle ornemental. De nombreux artisans offrent ces ornements en matière luxueuse tel le laiton et le cristal.

Le choix du cercueil est finalement fonction du type de funérailles choisi et des préférences esthétiques.

La toilette mortuaire

Il s’agit d’un soin appliqué au défunt afin de rendre une apparence plus naturelle et agréable à son corps. Il s’agit d’une prestation accomplie par l’agence recrutée pour la conduite des obsèques. Outre ce bain, des soins particuliers peuvent également être dispensés à la dépouille dans l’optique de la préserver au mieux. Ils consistent habituellement en des inoculations de substances. Un tel traitement se réalise impérativement sur acceptation expresse de la famille ou suivant les instructions du mort.

Les démarches complémentaires

Il s’agit de la communication autour du décès. Elle se fait habituellement par faire-part et par la diffusion journalistique. De nombreux modèles de faire-part existent et sont mis à disposition. Ils sont généralement destinés à un cercle de connaissances plus ou moins étroit. Les annonces par voies radiophonique et télévisuelle permettent d’informer un nombre plus important de connaissances.

Le prix des obsèques

Par souci de prévoyance, et pour anticiper le coût global des funérailles, il est important de s’intéresser de près à la valeur des différentes prestations entrant dans ce cadre. En effet, plus important est le nombre de prestations achetées, plus chère reviendra l’intégralité de la cérémonie. Certains frais sont considérés comme obligatoires alors que d’autres sont facultatifs.
Attention, les héritiers ne peuvent pas refuser de payer les obsèques.

Les frais obligatoires sont relatifs au cercueil, au transport du corps, à sa crémation ou à son inhumation.

  • La valeur du cercueil : Les offres de bière sont multiples et pour tous les goûts. Les prix des cercueils oscillent entre 500 et 3 000 euros en moyenne. Plus, des accessoires sont rajoutés, plus grand est le prix.
  • La location du corbillard pour le transport de la dépouille du lieu de mise en bière vers le cimetière ou le crématorium. Ce frais varie sensiblement selon le type de voiture et le prestataire.
  • Le prix de l’urne en cas de crémation. Il varie entre 30 et 300 euros.
  • La plaque d’identité de la personne décédée : elle se place sur la pierre tombale ou sur l’urne. Elle revient environ à 35 euros.
  • Les frais administratifs subséquents au décès : il s’agit notamment de la déclaration de décès, du permis d’inhumer ou d’incinérer ainsi que de l’autorisation d’ouverture du caveau familial.
  • Le creusement d’une fosse ou l’ouverture d’un caveau funéraire : cette opération revient en général entre 100 et 750 euros tout frais compris.
  • Le maître de cérémonie : c’est cette personne qui aide à la coordination et au bon déroulement de la cérémonie. Il coûte entre 100 et 500 euros en moyenne.
  • Les porteurs : ces personnes, au nombre de 4, transportent le cercueil vers ou hors le véhicule. Ils valent en moyenne entre 300 et 600 euros.

À ces frais s’ajoutent des dépenses facultatives telles :

  • le livre d’or,
  • l’ornement floral,
  • les soins mortuaires,
  • la publication du décès.

En moyenne, l’enterrement d’un proche coûte entre 3 000 euros et 15 000 euros tandis que la crémation vaut entre 2 500 euros et 7 000 euros. Il faut toutefois noter que les prix des obsèques varient également selon qu’ils se déroulent dans une grande (Paris par exemple) ou en campagne.

L’assurance décès toutes causes

contrat de prévoyance

L’assurance décès est un contrat par lequel le souscripteur s’assure de mettre ses bénéficiaires à l’abri de toute perte de revenus inhérente à sa mort prématurée. Ils pourront ainsi continuer à subvenir à leurs besoins grâce au capital qui leur sera versé.

La convention assurance décès offre une couverture sur plusieurs causes de décès, cela par le biais de différentes formules. Cependant, dans l’optique de se prémunir contre toutes les causes de décès, il est préférable d’opter pour la formule « assurance décès toutes causes ». Cette dernière permet de mettre les bénéficiaires à l’abri de tous les évènements de nature à entraîner la mort. Il s’agit notamment des suicides, maladies, accidents, morts naturelles et invalidités permanentes.

L’assurance décès toutes causes est disponible suivant deux formules. Le souscripteur a donc le choix entre l’assurance décès toutes causes à vie et l’assurance temporaire décès toute cause.

L’assurance décès toutes causes à vie

Avec cette formule, la convention d’assurance ne comporte aucun terme. Le risque est couvert jusqu’à sa réalisation, peu importe l’âge du souscripteur. Bien que le montant de cette formule soit assez élevé, il faut noter que les cotisations sont systématiquement reversées au bénéficiaire.

L’assurance temporaire décès toute cause

Cette deuxième formule comporte pour sa part un terme (un âge limite) au-delà duquel la convention prend fin et le risque n’est plus assuré. Avec cette formule, les primes sont perdues si le risque couvert ne se réalise pas avant le terme. Toutefois, en cas de survenue d’une Perte totale et irréversible d’autonomie et dans le cadre des contrats décès invalidité, la récupération des primes libérées est possible.

Quelle que soit la formule choisie par l’adhérent, il peut souscrire à ce produit au bénéfice de toute personne, qu’elle soit ou non son héritière. Aussi l’obligation lui incombe-t-elle de préciser, nommément, la ou les personnes à qui profiterait cette offre. Cette précision peut être apportée à l’assureur soit à l’occasion de la signature du contrat soit dans le testament du souscripteur.

Une fois le décès survenu, les bénéficiaires communiquent tout document pouvant renseigner sur leur identité à la compagnie d’assurances. Cette dernière, selon leur désir, peut libérer la somme due en un seul versement ou concéder une avance pour les obsèques. Ce versement peut également prendre la forme d’une rente lorsque le bénéficiaire est le conjoint survivant ou une rente éducation pour le financement des études des enfants en scolarité.

Les assurances obsèques

contrat assurances obsèques

L’assurance obsèques est un contrat d’assurance par lequel le signataire anticipe sur les frais inhérents à son inhumation après sa mort. Cette assurance prévoit donc une somme d’argent qui sera libérée au profit de ses proches pour couvrir son enterrement ou son incinération. Deux contrats d’assurance obsèques sont généralement proposés par les compagnies : l’assurance obsèques en capital et l’assurance obsèques en prestations.

L’assurance obsèques en capital

Avec cette formule de couverture, le contractant s’assure de laisser à ses proches une somme d’argent destinée à financer son enterrement en cas de décès. Ce type de contrat ne prévoit donc aucune prestation de nature funéraire. Néanmoins, selon la compagnie d’assurances concernée, le contrat peut comporter les clauses relatives au rapatriement et au transport des proches.

L’assurance obsèques en prestations

L’assurance obsèques en prestations ou convention obsèques est un contrat complet par lequel les futures funérailles sont planifiées dans le détail. Elle impose à l’assureur, à la survenue de la mort, la double obligation de verser le montant du capital prévu et de s’assurer que l’intégralité de la prestation funéraire est réalisée par l’opérateur désigné dans le contrat.

Afin de garantir à ses proches un deuil sans stress, il est important de choisir au meilleur prix son assurance obsèques. La meilleure façon de s’assurer les services d’une compagnie offrant une assurance obsèques pas chère et de qualité est de procéder à un comparatif d’offres. La recherche est donc capitale et pour cela rien de plus indiqué que les pages web des différentes compagnies. En quelques clics, vous pourrez accéder aux différentes offres et à leurs tarifs respectifs ainsi qu’aux avis des personnes qui y ont souscrit.

Comparateur assurances obsèques

Dans le cas où vous n’avez ni le temps ni le désir de procéder, par vous-même, à la comparaison des formules, le comparateur assurance obsèques peut vous être d’une grande utilité. Il est la meilleure solution pour vous aider au choix de la meilleure offre d’assurance.

À ce titre, de nombreux comparateurs sont disponibles. Leur politique de comparaison consiste en une étude attentive de certains points d’attention. Ainsi pour la convention d’obsèques, il est tenu compte, entre autres, de l’âge du signataire, du capital désiré pour financer les obsèques, du type de côtisations, de l’existence de garanties d’assistance, des frais additionnels… Outre cela, la perspective selon laquelle les prestations funéraires sont assurées par une petite entreprise ou par un prestataire d’envergure ou appartenant à une mutuelle est également déterminante.

En ce qui concerne l’assurance obsèques en capital, les points d’attention sont l’offre de revalorisation du capital, les conditions de participation aux excédents, les taux des frais de gestion, l’existence ou non d’une possibilité de rachat ainsi que les conditions de remboursement en cas de décès au cours de la période de carence

Les mot pour obsèques

mot poeme pour obseques

Au décès d’une personne proche, il est de coutume de compatir à la douleur de sa famille. À défaut de se présenter à la cérémonie d’inhumation, l’envoi d’un mot pour obsèques est idéal. Cependant, ce message pour convenir aux circonstances particulières doit répondre à des exigences de fond et de forme.

Le langage policé

Certes, le message de condoléances peut être adressé à l’occasion du décès d’une personne côtoyée dans un contexte professionnel, familial ou amical. Néanmoins, toute familiarité doit être évitée à cette occasion.

La concision

Ce mot n’est nullement le moyen de partager le flot d’émotions, de pensées que suscite en vous cet évènement malheureux. Le message doit être court et concis afin d’éviter toute maladresse.

Le soin

Le soin doit être de mise tant dans le style, la grammaire, la conjugaison, le vocabulaire et la calligraphie. Ce n’est pas le lieu de choquer par un mot décousu et truffé de fautes.

La positivité

Bien qu’il s’agisse de deuil, le mot doit véhiculer un message d’espoir en l’avenir et de soutien aux proches éplorés. Il ne doit pas paraître juste comme une obligation de politesse à laquelle il est sacrifié.

La signature

Il faut toujours signer un mot adressé à une personne, à plus forte raison en cas de deuil. Ceci permettra d’identifier l’auteur du message, dans la pléthore de mots reçus.

Un cadeau de circonstance

Les fleurs constituent en cas de deuil le présent le plus adapté. Il peut s’agit d’un bouquet de deuil ou d’une composition de sympathie.

Vous en savez désormais un peu plus sur les obsèques pour bien organiser ceux de vos proches ou même pour préparer le vôtre avant de trépasser. Vos proches n’auront alors qu’un deuil plus facile.

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